Adam A. Cassady
» METIER : Lieutenant de Police » AVATAR : Garrett Hedlund » POINTS : 182 » MESSAGES : 41 » JE SURVIS DEPUIS LE : 01/02/2019
| Sujet: Adam A. Cassady ¤ Il suffit parfois d'un jour pour réduire l'homme le plus pieu qui soit à la démence Ven 1 Fév - 22:30 | |
| Cassady Alan Adam 35 ans Lieutenant de Police Solitaires Cœur à prendre Déterminé Loyal Charismatique Bon fond — CLASSE — Endurant — COMPÉTENCE — Warrior Sadique Impulsif Violent Rancunier — Objets —• Arme ¤ MP5 : C'est le MP5 qui m'accompagne depuis mon arrivée au sein de la police. Ce n'est pas l'arme exacte, mais le modèle que j'utilise tout le temps et qui a toujours témoigné d'une fiabilité et efficacité suffisante. Il est noir mat, état irréprochable, je m'en suis peu servi.
• Véhicule ou Animal Un SUV à 7 places, pour y fourrer nous trois et ce qu'on peut récupérer (Alimentation, couvertures, etc) • Sacs et bagages - Sportif : sac en bandoulière ou à main d’une contenance de 60L • Vos kits de survie - Kit nocturne - Protection : Kevlar et protections classiques (coudières, genouillères) • Objets personnels - Casquette - Lunettes de soleil - Bandana noir à motifs - T-shirt blanc "Save the FUCKING Earth"
— Questions — • Parlez nous de vous, de votre lieu et date de naissance, de votre parcours professionnel/scolaire, ainsi que votre situation familiale Je suis né à Birmingham, en Alabama, le 4 Janvier 1984. Ma famille biologique n'était pas des plus riches, et des plus appréciables. J'ai grandit pendant longtemps dans une famille adoptive, les Cassady, desquels je tiens mon véritable nom. Je ne m'entendais guère avec ma famille biologique, je haïssais mon père et ma mère m'ignorait. Les Cassady m'ont extrêmement bien traités, comme si j'étais leur fils. Ils avaient eu d'autres enfants, mais j'étais presque comme leur chouchou. Je suis le premier arrivé, l'aîné d'une fratrie qui n'est techniquement pas la mienne. Scolairement parlant, j'étais moyen voire mauvais en primaire et au collège, jusqu'à ce que j'arrive au lycée où j'ai dépassé un stade. Le sport était ma matière de prédilection, mais elle était suivie de l'anglais et de quelques autres. Dans le reste, je débrouillais pour avoir la moyenne. Je n'aimais guère les enseignants, mise à part ma professeur d'avant-dernière année qui était une folle de sexe (Pas pour rien que j'avais une bonne réputation après m'être rapproché d'elle). Elle fut malheureusement virée avant la fin de mon année, mais ce fut une relation sympa. Les Cassady ont réussi à faire de moi quelqu'un d'assez acceptable, ils ont sauvés ce qui restait d'Alan Patrick pour faire un Adam Cassady correct. J'ai mes défauts hérités de mon père, et des qualités hérités d'Andrew Cassady. Je me suis engagé dans les forces de l'ordre du Montana, car à l'époque où j'obtenais enfin le droit d'intégrer la police, les Cassady et moi avions déménagés depuis 2 ans dans le Montana. J'étais... bien vu est un euphémisme, Andrew Cassady est un avocat réputé dans le centre des Etats-Unis, il est bien vu et donc, sa renommée déteint sur toute la famille, même moi, son fils adoptif qu'il chérit comme son fils de sang. Et j'honorais bien cette réputation : J'étais assez droit, efficace, charismatique et je savais me montrer persuasif, déterminé et autoritaire. Le flic idéal quasiment, bien que rien ne soit idéal, surtout pas moi.
• Quelles est votre passion/vécu ayant pu vous apporter des compétences supplémentaires à votre profession ? Je suis fan de bidouille d'armes et j'ai appris grâce à un ami durant mes années de carrière à savoir utiliser un ordinateur légèrement mieux que le commun des adeptes de cette machine. Je suis également légèrement connaisseur des branchements électriques, surtout ceux de générateurs et de véhicules. J'ai appris sur le tas à démarrer des voitures sans clés ou à allumer des générateurs dans des lieux miteux. Sinon, je suis un gros addicte de la musique rock/grunge des années 90.
• Avez-vous été dans le camp militaire de Malsmtrom ou son annexe de mise en quarantaine ?Non • Connaissez vous le groupe de survivants de la caserne ? Si oui, les avez-vous rencontrés ? Ou seulement entendu des rumeurs à ce sujet ? Je ne connais pas encore ce groupe, mon trio se contente de filer de refuge en refuge. On risque de tomber très bientôt sur le Fort Marston. • Comment avez-vous obtenu votre arme ? C'est mon arme de service en cas de situations lourdes. Car oui, un flic, même lieutenant, ne va pas se pointer chez vous avec un MP5 parce que vous avez pas payé votre park-mètre ce matin. J'ai déjà du me servir plusieurs fois de cette arme avant la fin du monde, notamment dans quelques prises d'otages ou investigations musclées de planques de trafic. • Avez-vous tué des rôdeurs ? Si oui, combien ? Beaucoup, très beaucoup, au bout du quarantième j'ai arrêté de compter, et c'était il y a encore un mois. • Avez-vous tué d’autres survivants ? Si oui, combien ? Malheureusement, j'ai dû en tuer quelques uns. C'était des pillards qui tentait de s'introduire dans l'enceinte de notre caserne. • Avez-vous un passif de criminel ? Pas spécialement non, je ne serai pas un lieutenant sinon. — Armatos Landrenn —Dans le monde réelle on m'appelle Flo'. J'ai 17 ans, et je viens de France, du Nord. J'ai découvert WCA grâce à la fonda', et j'ai cédé à m'inscrire parce que le Japon. Mon personnage est un inventé et je n'autorise pas le staff à tuer mon personnage si je disparais. Je suis prêt(e) pour rejoindre l'aventure et Love, Indulgence et Camaraderie. PS : Le code du réglement est : - OKEY BY B
Codage réalisé par Joh.A pour WCA " Foreclosure of a Dream, Architecture of Agression " — BEFORE — Birmingham, Alabama, 04 Janvier 1984. Un soir calme, peu nuageux et baignant dans la lumière d'un croissant de lune. Il était 23 heures lorsque je suis venu au monde. Mes parents étaient heureux, pas pour moi, mais que la grossesses s'arrête. Mon stupide père, Victor Patrick, alla me recenser et me nomma Alan Cletus Patrick. Un nom bien ridicule, signifiant déjà le fait qu'il m'en ferait saigner à chaque fois que je le croiserai. Je ne restais qu'à peine 4 ans dans cette famille de connards. Ma "mère", ignorante et aussi futée qu'une pince à épiler, se foutait que mon taré de père me donnait des coups. Un jour, une de ses marques n'étaient pas partis pour le lendemain à l'école. La directrice convoqua mes parents, et elle se rendit compte qu'ils en avaient rien à foutre de moi. Elle saisit la justice qui condamna ces infâmes ordures et me plaça dans une famille adoptive, beaucoup plus humaine. C'est ainsi que j'atterris chez les Cassady. Et j'insiste bien sur le deuxième A de Cassady. Vous n'imaginez pas combien de têtes j'ai éclatés car elle m'appelait Cassidy. J'étais le premier enfant dont le couple Cassady devait s'occuper. Ils cherchaient à avoir un enfant, mais ils ne réussissaient pas à en avoir. Pourquoi j'ai atterrit dans une famille sans enfants ? Andrew Cassady était un bon connaisseur des lois, de la manipulation juridique etc... Et Lily Cassady travaillait en tant qu'enseignante de collège. Bon évidemment, c'est plus grâce au bagout de mon père adoptif que je fus recueilli par lui.
La vie chez les Cassady était super. Andrew mérite plus de porter le nom de père que l'autre ordure. Et Lily, j'avais l'impression que c'était elle qui m'avait mit au monde. Je ne sais pas comment elle faisait pour réussir à me comprendre, ce que je ressentais, mes difficultés... Par la suite, Les Cassady eurent leurs vrais enfants, dont le premier, deux ans après mon arrivée, donc 6 ans de moins que moi, s'appelle Christopher, mais tous le monde l'appelle Chris. C'est celui avec lequel je m'entendais le plus, non pas que je ne m'entends pas avec les autres. Ma scolarité, qu'elle soit avec les Cassady ou qu'elle aurait été avec les Patrick, aurait été piteuse. Au lycée, j'ai réussi à remonter le niveau juste pour pouvoir montrer que j'en veux lors de mon examen d'entrée à la police. Mes années de lycée étaient très cool. J'y ait rencontré bons nombres de mes anciennes petites amies, certaines avec qui j'ai encore bon contact, d'autre qui sont totalement tombées dans l'oubli. Quand j'y repense, je suis quand même sorti secrètement avec ma prof de sport d'avant dernière année ! C'était... cocasse, insolite en toute somme. Mais je rassure : Déjà, elle avait 26 ans, ensuite elle avait un corps de mannequin, elle était particulièrement aguicheuse en plus d'être une personne vraiment cool dans la vie privée. C'est durant mes années de collège lycée que je jouais de la guitare et reprenait du Metallica. Dans mes souvenirs, ça plaisait beaucoup aux gens dans mes établissements. Au lycée, on m'a même collés avec un groupe de potes pour jouer du métal. Ce fut l'une des meilleurs expériences de ma vie, et je pense que si je ne voulais pas devenir flic, j'aurai été guitariste et chanteur dans un groupe. Notre formation, ironiquement, on l'avait surnommée "The Bulletproofs of Metal". On trouvait ce nom ridicule, du coup on l'avait gardé. Mais lorsque le lycée s'est terminé pour moi, j'ai directement engagé des études pour intégrer les forces de police du Montana. Car oui, j'avais déménagé dans le Montana avant d'intégrer le lycée. Grâce à mes aptitudes et mon caractère, j'intégrais la police en tant que cadet à seulement 19 ans. Pendant des années, j'ai trimé pour devenir un simple agent, et j'ai été récompensé à mes 23 ans. J'ai gravit les échelons pendant des années, montrant ma bravoure, ma détermination, mon efficacité et mon intégrité. Jusqu'à ce jour où lors d'un démantèlement de trafic, le "gang" qu'on pistait avait pris en otage une banque afin de pouvoir avoir un "sursis", le temps qu'ils s'enfuient. Nos équipes sont intervenus. Si nous le jugions nécessaire, et qu'aucun civil n'était à portée, nous avions le droit de blesser ou tuer les criminels. Cette prise d'otage fut tendue, et grâce à plusieurs têtes nous avons réussi à la désamorcer sans blessés. Et l'une de ces têtes, ce fut moi. J'avais réussi à pénétrer discrètement dans l'enceinte du bâtiment par une entrée arrière et pendant que les criminels doutaient de ma présence à l'arrière, nos équipes ont pu passer par l'avant et sauver les otages. Evidemment, il y eut une fusillade, dans laquelle, j'ai tiré "involontairement" sur un assaillant, le faisant chuter mortellement. Je ne voulais pas le faire chuter, juste le désarmer. J'ai réussi à maîtriser certains criminels et voilà notre quota : Sur 10 preneurs d'otages, 2 ont été abattus dont un par moi, les 8 autres se sont fait arrêtés par les forces spéciales. Pour la réussite de cette mission, je fus récompensé et promu au rang de lieutenant. Et bizarrement, lorsque System of a Down passait dans la région, je fus invité à l'un de leurs shows. J'a même pu monter avec eux pour interpréter une chanson qui me tiens à coeur, King Nothing.
J'ai été promu lieutenant à mes 30 ans, soit il y a à peine 5 ans de cela. Je dois dire que mon service en tant que lieutenant était beaucoup moins mouvementé qu'avant. Mais cela n'a pas duré bien longtemps... Depuis Septembre 2018, je cumulais beaucoup d'affaires sur le tas... Et vous savez ce qui s'est passé en Novembre...
— AFTER — Le mois de Novembre. Il fut lourd, pour l'humanité entière. Cette foutue épidémie, elle s'est répandue en un rien de temps. Notre caserne fut ordonné de se retrancher et maintenir la position jusqu'à l'arrivée de renforts gouvernementaux. Ce renfort n'est jamais arrivé. Nous étions bien une trentaine à survivre dans cette caserne. Et nous étions de l'autre côté de la région, loin de Great Falls. Pourquoi je parle de Great Falls ? J'avais une réunion importante là-bas, car je vous laisse deviner qu'en 5 ans, j'avais largement avancé dans les échelons, et je méritais très bientôt de passer à un grade supérieur. Durant ma carrière, j'ai eu tant d'affaires à régler, sur 1000, j'ai réussi à en régler au moins la moitié. Et j'ai eu bien plus de 1000 affaires depuis mon service dans la police. Nous survivions comme nous pouvions. On était environ trente au sein de la caserne, dont deux civils sauvés de justesse. Nous tenions la position, nous étions équipés d'armes, de munitions. La seule chose qui pouvait nous faire vraiment défaut, c'était les soins. Il fallait qu'on soit tous en bonne santé, pour éviter de nous condamner. La bouffe n'était pas un grand soucis que ça, nous étions proches de plusieurs magasins alimentaires. Et comme personne ne pouvait passer par notre quartier à cause de cette foutue apocalypse, nous pouvions passer récupérer tout ce qu'il y avait dans quelques boutiques. Ce fut moi et un autre lieutenant, le lieutenant Hayes, qui étaient chargés d'aller récupérer de quoi se nourrir. Les rôdeurs étaient peu nombreux dans notre quartier, ce qui était une aubaine pour nous. Grâce à nos sorties, nous avons pu ramener de quoi survivre durant le mois de Décembre. Nous avions réussi à tenir la position un long moment. Les barrières autour de la caserne fournissait déjà une protection suffisante, mais avec les planches qu'on pouvait récupérer, nous avions barricadés les fenêtres du rez-de-chaussée. La caserne était construite sur trois étages. Lorsque nous avions besoin de surveiller la zone et de tirer, nous le faisions depuis les fenêtres du deuxième étage.
Nous avons tenus aussi longtemps que nous le pouvions, mais nous nous attendions pas à essuyer une attaque de pilleurs. Ils ont tentés de forcer le passage dans la caserne. La situation a rapidement dégénéré. Je n'ai réussi à qu'à en toucher trois sur le groupe de douze qui nous ont attaqués. La caserne finit par perdre, au bout de quelques minutes, alors que nous tenions depuis plus d'un mois...
Nous nous sommes tous enfuis comme nous pouvions. Nous avons perdus 18 personnes sur 30. Le reste de la caserne s'est divisée, les civils sont partis avec deux autres policiers. Moi, j'ai réussi à m'enfuir avec ma "recrue" à mes côtés, celle qui bénéficie du meilleur des mentors. (J'arrête le gros melon). Nous avons été rapidement rejoint par le lieutenant Dietrich. Je déteste ce type, il est si détestable et égoïste, je ne comprends pas comment il fut accepté chez nous et surtout qu'il soit devenu lui aussi lieutenant. Enfin, nous devions le supporter. Nous étions devenus plus froids mais nous n'étions pas des monstres... Depuis, je me retiens souvent de lui décoller mon poing dans la figure.
Nous avons réussi à fuir la ville en tombant sur un SUV. Ma recrue déposa ce qu'elle pouvait à l'arrière, c'est-à-dire de quoi se nourrir, se couvrir et de quoi se battre. Dietrich maintenait notre position des quelques rôdeurs et pilleurs qui tentaient de nous poursuivre. J'essayais de démarrer la voiture avec les fils. Le stress ne m'aidait pas, mais je réussis en moins d'une minute à démarrer cet engin. Vu nos emplacements, je prenais le volant, Dietrich prit le siège passager et ma recrue s'installa à l'arrière. Nous pûmes fuir, et nous nous dirigions vers Great Falls, sous la directive de Dietrich, qui disait qu'il y aurait surement de quoi pour nous. Depuis, nous nous contentons de survivre, d'abri en abri, nous nourrissant de ce qu'on trouvait... Plus d'une fois, j'ai eu envie de régler son compte à Dietrich, mais ma recrue réussissait à chaque fois à me calmer avant que cela ne dégénère. Dietrich est un grand malade, il est tout aussi fou et monstrueux que les pilleurs qui nous ont attaqués. C'est un homme dangereux, et nous devons nous contenter de le suivre pour le moment, tant qu'il n'y a pas de vagues.
Codage réalisé par Joh.A pour ***
Dernière édition par Adam A. Cassady le Sam 2 Fév - 21:38, édité 6 fois |
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