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 Nolan Baker + “Sometimes even to live is an act of courage.”

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Nolan Baker

Nolan Baker

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» AVATAR : Chris Wood
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» JE SURVIS DEPUIS LE : 17/12/2018

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MessageSujet: Nolan Baker + “Sometimes even to live is an act of courage.”    Nolan Baker + “Sometimes even to live is an act of courage.”  EmptyMer 19 Déc - 13:54

Baker Nolan

28 ans

Policier


La caserne

En couple


Bienveillant

Joueur

Protecteur

Optimiste

— CLASSE :
- Vigilant

— COMPÉTENCE :
- Hunter

Rancunier

Borné

Impatient

Jaloux


— Objets —
Arme
-Beretta 92.
Véhicule ou Animal
-Un pick up noir.
Sacs et bagages
(ne laisser que le sac que vous avez)
- Dorsale : sac à dos d’une contenance de 40L
Vos kits de survie
-Kit hygiène.
-Kit nocturne.
Objets personnels
-Le doudou et la tétine de sa fille.
-Son insigne de policier.
-Une photo de sa mère.

— Questions —
• Parlez nous de vous, de votre lieu et date de naissance, de votre parcours professionnel/scolaire, ainsi que votre situation familiale Je suis né à Billings, dans le Montana. Si j’aurais pu grandir au sein d’une famille aimante, ce ne fut pas le cas à cause de mon paternel. Non seulement il me menait la vie dure, mais c’était également le cas envers ma pauvre mère qui se battait pourtant au quotidien pour que notre foyer ne s’écroule pas. A l’école, je n’étais ni un bon élève ni un élément perturbateur. Je me faisais discret, travaillant le minimum pour que mes résultats scolaires ne soit pas une excuse supplémentaire qui forcerait mon père à me coller une racler. En grandissant, j’ai rejoint l’école de police dont je suis diplômé.
• Quelles est votre passion/vécu ayant pu vous apporter des compétences supplémentaires à votre profession ? Depuis mon plus jeune âge, je n’avais qu’une seule volontée : que mon père devienne un homme bien, qu’il soit fier de moi. Cela n’est jamais arrivé, alors, afin de ne pas devenir un monstre comme lui, je me suis juré de faire régner la justice, de protéger les autres… Voilà pourquoi je suis devenu flic. Pour les autres, pour prouver à mon cher papa que je ne suis pas ce raté qu’il croit… Comme un besoin de reconnaissance inconscient.
• Avez-vous été dans le camp militaire de Malsmtrom ou son annexe de mise en quarantaine ? Je n’ai jamais mis les pieds dans cette zone de quarantaine, étant domicilié à Great Falls. Si nous aurions pu nous raccrocher à cette zone de quarantaine, nous avons pris la route vers l’inconnu et cela peut sembler stupide, il faut croire que la peur nous fait suivre n’importe quelle rumeur. Mais aujourd’hui, je ne regrette pas ce choix.
• Connaissez vous le groupe de survivants de la caserne ? Si oui, les avez-vous rencontrés ? Ou seulement entendu des rumeurs à ce sujet ? Si je connais ce groupe ? Je ne le connais pas simplement, je l’ai rejoint. D’abord une simple rumeur, un bruit qui court mais cela a suffi à me donner l’espoir d’y croire. Avec mes proches, nous avons pris la route et nous avons mis la main sur ce groupe. Depuis, nous en faisons partis.
• Comment avez-vous obtenu votre arme ? J’ai obtenu mon arme grâce à mon travail de policier. Elle ne me quitte plus depuis, élément vitale pour me faire me sentir en sécurité, du moins depuis que les morts se sont réveillé sans explication.
• Avez-vous tué des rôdeurs ? Si oui, combien ? Quelques-uns oui, pour protéger mes proches ainsi que ma propre vie. Le nombre exact ? Je n’en sais rien, je dirais que ça se rapproche de la dizaine. Je ne me suis pas amusé à compter mais si ma mémoire ne me joue pas de tour, je n’en ai pas tué énormément.
• Avez-vous tué d’autres survivants ? Si oui, combien ? Je n’ai pas encore eu à tuer qui que ce soit de vivant. Et j’espère ne jamais devoir le faire…
• Avez-vous un passif de criminel ? Moi ? Criminel ? Ce serait l’hôpital qui se fout de la charité ! Mon boulot était et demeure d’arrêter les méchants. Je n’ai jamais commis le moindre acte criminel.


— Ellie —Dans le monde réelle on m'appelle Elisa. J'ai 19 ans, et je viens de France. J'ai découvert WCA grâce à une pub fb de base, et j'ai cédé à m'inscrire parce que j'aime le post apo d'une force incroyable. Mon personnage est un inventé et je n'autorise pas le staff à tuer mon personnage si je disparais. Je suis prêt(e) pour rejoindre l'aventure et survivre à vos côtés, mes crevettes sucrées.  
PS : Le code du réglement est :
Martha.

Codage réalisé par Joh.A pour WCA


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Nolan Baker

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MessageSujet: Re: Nolan Baker + “Sometimes even to live is an act of courage.”    Nolan Baker + “Sometimes even to live is an act of courage.”  EmptyMer 19 Déc - 13:58

" Sometimes even to live is an act of courage. "

— BEFORE —
Ah Billings ! Une jolie ville du Montana sans aucun souci. Une ville tranquille comptant 158 934 habitants. Une jolie ville traversée par la rivière Yellowstone. L’histoire pourrait vous sembler belle ainsi, mais même les jolies choses ont toutes une part d’ombre…

C’est à Billings que Nolan Baker voit le jour, dans une famille très modeste. Du fait de leur pauvreté, à peine son fils venait-il de venir au monde, Maria Baker ne prit pas le moindre congé pour veiller sur son nourrisson. Non, elle se remit immédiatement au travail. Petits ménages dans des foyers qui la payaient une misère, garde d’enfants insupportables, serveuse dans des bars miteux à la nuit tombée. Elle enchaînait jobs minables sur jobs minables et tout ça dans l’unique but de payer des factures exorbitantes pour que sa famille ne finisse pas à la rue. Tout ça, elle le faisait pour son petit garçon, son petit Nolan qu’elle aimait tant, la prunelle de ses yeux. Un garçon, c’était ce que son mari avait toujours voulu et elle avait réalisé son souhait en mettant au monde un petit bambin joufflu, une épaisse chevelure brune et au regard océan. Mais James Baker ne semblait plus vouloir de cet enfant autant qu’il l’avait désiré durant la grossesse de son épouse. Depuis qu’il avait perdu son travail, l’alcool était venu envahir le quotidien des Baker. Au début, il ne s’agissait que de quelques verres au cours des repas mais bientôt les verres devinrent des bouteilles et il ne se passait pas une journée sans que James ne frappe sa femme. La pauvre femme, couverte d’ecchymoses, gardait la tête haute et le sourire  sur son visage amoché pour que son petit Nolan ne remarque rien. Ce calvaire dura de longues années, jusqu’au jour où le fils Baker atteignit l’âge de dix ans…

En âge de comprendre ce qui l’entourait, il surprit une dispute entre ses parents un soir d’hiver glacial. Son père, ivre et titubant tenait fermement entre ses larges mains la chevelure hirsute de sa pauvre femme en larmes. Mais la scène ne s’arrêtait pas ici, loin de là. Nolan vit son père frapper avec force le visage de sa mère contre le mur à plusieurs reprises. Sans était trop, il ne pouvait pas rester là, dans l’encadrement de la porte, à regarder sa mère se faire battre de la sorte. Malgré son jeune âge, il s’approcha de son père et le rua de coups, aussi fort que ses petits bras le lui permettait, hurlant de rage alors que de grosses perles salées dégringolaient le long de ses joues.

Le calvaire aurait pu s’arrêter là, James Baker aurait pu prendre conscience du mal qu’il faisait grâce à son fils. Mais ce ne fut pas le cas…

Si Nolan avait su ce jour-là que la haine de son père se retournerait contre lui pendant encore plusieurs années, alors il aurait tout simplement appelé la police. Quand sa mère partait se tuer au travail pour ce foyer détruit, son père attendait avec calme, une bouteille à la main, que son fils rentre de l’école pour le rouer de coups. Tel était son quotidien et, comme sa mère l’avait fait pendant de longues années, Nolan conservait son sourire sur son visage pour que personne en dehors des murs de cette maison ne se doute de quoique ce soit. Certains diront qu’il était courageux et d’autres diront qu’il était trop faible pour agir. Pourtant, quand son père tombait comme une masse au beau milieu du salon, Nolan agissait autant qu’il le pouvait. Il nettoyait toute la pagaille, pansait ses blessures et quand sa mère rentrait épuisée du travail, il prenait soin d’elle. Il lui avait plusieurs fois soumis l’idée de quitter la ville sans prévenir pour qu’ils puissent tous les deux se reconstruire loin de cet homme rongeait par ses démons. Mais elle refusait à chaque fois, car malgré la douleur elle aimait James, elle aimait cet homme violent et qui faisait vivre un enfer à sa famille. Nolan n’avait jamais compris ça. Il aimait sa mère plus que tout mais il ne parvenait pas à comprendre l’amour qu’elle portait à son père. Alors, quand il atteignit la majorité, il saisit sa chance de partir d’ici en rejoignant une école de police dans une autre ville.

Son départ attrista sa mère mais laissa de marbre son père. Cela n’étonna guère Nolan mais celui-ci partit tout de même, emportant avec lui l’image du visage en larme de sa mère. Il l’avait en quelque sorte abandonnée mais ce n’était pas faute de lui avoir demandé de fuir avec lui. Il avait essuyé chacun de ses refus et souffert pendant des années, maintenant il était un jeune homme libre de ses propres choix et il n’avait pas l’intention de souffrir davantage sous les coups de son père. Les années qui ont suivis permirent à Nolan de s’endurcir et forger son caractère. Il passa avec succès  son diplôme quelques années plus tard et, à peine sortie, il trouva un emploi en tant que policier au commissariat de Great Falls. Parfois, il lui arrivait d’échanger quelques lettres avec sa mère car, même s’il était partit depuis un petit bout de temps maintenant, il demeurait inquiet pour elle et espérait que les choses aient un minimum changé dans la maison de son enfance.

C’est dans cette nouvelle ville qu’il fit en premier lieu la connaissance de Savannah Holmes. Etudiante en médecine, ils s’étaient rencontrés par l’intermédiaire d’un ami commun. Rapidement, ils devinrent proches au point de sortir ensemble quelques mois… Mais Savannah tomba enceinte par accident et, ne se sentant finalement par capable de devenir mère, elle abandonna la petite Tinsley Baker à son père. Nolan n’eut pas d’autre choix que d’assumer son rôle de père et de veiller sur ce trésor de la vie. Un peu plus tard, il fit la connaissance de Blake  Newman dans un dinner. Chaque matin et soir, avec une poignée de collègues, Nolan allait déjeuner sur le lieu de travail de la jeune femme. A vrai dire, s’il insistait pour traîner ses collègues là-bas pratiquement tous les jours, c’est bien parce que la jeune femme n’avait pas laissé Nolan indifférent. Il y avait quelque chose de différent chez elle, qu’il ne voyait pas chez les autres filles. Il n’avait jamais vraiment su dire quoi, même lorsqu’ils avaient commencé à se côtoyer. Il lui avait bien fait comprendre qu’elle lui plaisait et elle lui résistait toujours… Sans doute était-ce ça qui l’attirait chez elle ? Sa façon de reculer, ce jeu du chat et de la sourie, ça lui plaisait. Et il avait fini par obtenir quelque chose d’elle, un baiser… et même plus. Au départ, ils avaient simplement prévu de se retrouver pour une balade en forêt, rien de plus banale, mais très vite, Nolan avait été entraîné par la jeune femme auprès d’un lac où les choses se sont accélérées malgré elles. Depuis ce jour spécial, ils forment un couple qui pourtant se cherche encore, un peu comme deux adolescents.
La même année, alors que sa relation avec Blake n’était encore que très récente, Nolan apprit qu’il avait un jeune demi-frère. En effet, ce dernier était un jour venu à l’improviste sur son lieu de travail, lui balançant ainsi au visage la nouvelle. Un choc pour Nolan qui, cependant, ne repoussa pas son cadet nouvellement connu. A la place, il prit le temps d’effacer son absence pour se faire une place dans la vie de Matthew, même minime. Lui qui avait toujours voulu avoir un frère, on venait de lui en apporter un sur un plateau d’argent. Tout roulait désormais, jeune père, grand frère, amoureux, il avait tout pour être heureux.

Puis, le monde a basculé pour dévoiler une toute autre facette de son visage jusque-là encore inconnue de tous. S’il y avait eu des maladies mortelles, des pandémies maîtrisées, des guerres, de la famine et autres actes cruelles, rien n’aurait pu prévoir une chose pareille. Les morts ne le restaient pas, ils avaient commencé à se relever pour dévorer les autres et étendre leur pouvoir…

— AFTER —
Si la peur de mourir et voir ses proches périr autour de lui avait également envahi Nolan, il lui était rapidement apparu qu’il devait protéger coûte que coûte ceux à qui il tenait. Sa fille, en premier lieu, prunelle de ses yeux, chair de sa chair, sang de son sang. Elle était sa priorité, au même titre que son frère. C’était eux qu’il avait pris sous son aile en premier lieu avant de se hâter pour trouver sa petite amie. Bien que le couple soit encore récent, il l’aimait, il tenait à elle et refusait la simple idée de la perdre. Ensemble, ils avaient pris la route à bord de son vieux pick up. Pour aller où ? Nolan ne le savait pas encore, il avait vaguement entendu parler d’un endroit sécurisé et il s’était dit que cela serait un espoir, un but à atteindre dans ce calvaire terrifiant. Alors ensemble, petite tribus devenue nomades de survivant, ils avaient avancé dans ce monde, la peur au ventre, l’incertitude d’être en vie le jour suivant. Pour le jeune policier, il était évident que tout cela n’était que de courte durée, un beau jour, les choses retrouveraient leur court normal. De plus, sur leur chemin, ils avaient fait la connaissance d’autre survivants et ce fut ensemble qu’ils foulèrent le sol de la caserne, autrement nommée Fort Marston.

Là-bas, l’espoir d’un monde meilleur avait frappé de plein fouet Nolan. Il croyait davantage à un retour normal des choses, malgré l’accroissement plus qu’évident du nombre de rôdeur. Il ne voulait pas baisser les bras en dépit de la peur, pour ses proches mais surtout pour lui, pour sa propre santé mentale. Sans espoir, il deviendrait fou et la folie ne présage rien de bon lorsque les temps sont durs.



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Blake Newman

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MessageSujet: Re: Nolan Baker + “Sometimes even to live is an act of courage.”    Nolan Baker + “Sometimes even to live is an act of courage.”  EmptyMer 19 Déc - 21:29

Félicitations !


Bienvenue officiellement à La Caserne ! Ta fiche de présentation remporte l’oscar du « j’ai le droit de survivre et de flipper à chaque râle de morts-vivants que je rencontre ! » Mais pas de précipitation, petit poisson. Il faut t’acclimater à l’eau de ton nouvel aquarium avant de te jeter à l’eau ! Il te reste donc à faire ta fiche de personnage, recenser ton personnage, sa place au Fort Marston et son métier.

Tu peux également dès à présent créer un scénario et signaler une recherche de liens ainsi qu’un recherche de rp.

Avec cette validation, tu peux dès à présent nous rejoindre sur les jeux les jeux et sur Discord.

Enfin, tu peux jeter un œil à notre marché des survivants. Trop de dépenses à prévoir ? Commence à accumuler des points en votant et créant un nouveau sujet de vote chaque mois sur la catégorie top-site.

Une nouvelle fois, nous te souhaitons la bienvenue et espérons que tu te plaises sur WCA. En cas de questions ou suggestions, n’hésite pas à faire un tour sur notre boite à idées.

 
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